Vendredi 19 Septembre 2014, fête des transports publics, célébrons en cette journée l’éco-partage avec des moyens de transport tels que le tandem, le bus ou … Ah ? Oups, ce n’est pas le sujet … (Changement de fiche)
Vendredi 19 Septembre 2014, aujourd’hui débute la première journée du festival « Du Metal à la Campagne » qui revient pour sa 7ème édition, et qui nous gratifie d’une affiche très très alléchante ! On y retrouve en tête d’affiche Lofofora, Benighted, Colossus, General Lee … Mais je m’y attarderais à un autre moment, puisque sur les 2 jours, 12 groupes nous seront proposés. Et le festival en lui-même ? Il s’agit ici d’un petit festival/village avec une assez grande superficie avec des animations comme le Karaoké Metal, des arts de la rue, un coin détente, un stand Guitar Hero,etc… et possède 2 scènes (La Source et Meulen Hof)
On va commencer mais pas par l’affiche ! Vu que le festival est sur 2 jours, un camping sera proposé (1ère année pour le festival d’ailleurs) à environ 10 minutes de marche de la scène La Source/Meulen Hof … Pratique ! On est donc sur un festival à taille humaine, et ça, c’est quelque chose qui me plait, vraiment, sans aucune ironie ni prétention. Après avoir installé la tente, nous voici donc partis pour la scène » La Source « , ouverture de la billetterie à 19h30, je n’ai pas eu à attendre bien longtemps pour avoir mon pass, cette histoire s’est réglée rapidement et … GO ! Nous avons pu rentrer dans l’enceinte du festival donc.
VENDREDI 19
Cadre sympathique et reposant s’il en est, on se sent « comme » à la campagne, des tables pour discuter et se poser avant les concerts ou entre deux ou juste pour attendre sont un bon point, surtout qu’une pizzeria était présente avec une carte de pizza axée aussi Metal que le festival. (Mention spéciale à la Cannibale Corpse, entièrement composée de viandes !) La facilité, peut-être, certains en verront même trop, mais c’est ce genre de référence qui m’a plu, et les pizzaïolos, des gens très accueillants et souriants qui n’hésitent pas non plus à faire la fête ! Mais assez parlé bouffe, il est 20h00 !
Unstable, groupe originaire de Calais qui est désormais basé à Lille ouvre donc cette septième édition Du Metal à la Campagne … Grosse « surprise », pour ceux qui suivent le groupe, ce n’est pas la peine de le faire remarquer, mais pour ceux qui veulent le découvrir, Unstable a changé de line-up à maintes reprises ces dernières années (Je les ais vu pour la première fois en 2011) donc autant dire que la différence s’est faite sentir. Unstable nous offre « pour l’honneur » si je puis reprendre les mots du chanteur, un Metalcore Melodique qui alterne entre passages lourds et passages mélodiques …
« Ouais c’est du Metalcore Melodique quoi, ça sert à quoi que tu le précises qu’il y ait des passages lourds de Metalcore et du clair du Melodique !? »
Pour ceux qui le savent pas banane ! Cela dit même si ça reste basique dans les mots, Unstable ne se limite pas à copier bêtement ce qui existe déjà et nous montre sa propre vision du Metalcore Melodique. Fan de Caliban, vous risquez de vous prendre une sacré trempe suite à l’écoute de leur second EP éponyme. Légère déception quand même, dû à un public qui n’était pas très présent malheureusement, mais ceux qui était là ont quand même su donner à Unstable le La, pour l’honneur !
Oh Eh ! Oh Eh ! Du bateau ! Nous voguerons ensuite au rythme des voiles du groupe boulonnais Netfastcore qui jette l’ancre avec son Hardcore/Deathcore furieux avec une touche légère (mais vraiment légère) de Grindcore et de Prog par moment. Formé en 2003 et déjà fort d’une démo et de deux EPs, le groupe débarque donc à la Campagne pour défendre son premier album qui sortira dans le courant du mois prochain : « And Everything Returns To Dust « .
Un groupe complice, c’est la seule définition qui me viendrait en tête pour Netfastcore ; autant entre eux qu’avec le public, la formation sait faire entrer le dialogue, notamment dû au fait que Gauthier, le chanteur, n’hésite pas à se mettre souvent accroupi pour passer le micro au public. Un régal pour les oreilles et l’une des bonnes découvertes de ce festival.
Setlist : Mycenae, Augustus/Eternal Realm, The Plot, The Landanum Effect, The Fall, How to Start a Tsunami, Broken and Bruised, And Everything Returns to Dust, Legion of The Hopelessness
Une pause s’impose ! Pizza avec de bons amis qui viennent de loin ? Passons donc un bon moment ensemble ! Puis suite à ça, WILD entamera son set. SAUVAGE c’est quoi ? Non évitons cette mauvaise blague, WILD ou Wake Initiated Lucid Dream, c’est une musique vachement méchante et groovy qui tabasse bien comme il faut avec un Jérôme au chant qui growl et, de temps à autre, nous fait de méchants et vicieux pig squeals comme on aime. Pour l’anecdote, WILD s’appelait WILD Karnivor et Jérôme chantait en français. (ce qui n’est plus le cas aujourd’hui, même si les titres de l’époque de WILD Karnivor sont encore joués en live)
Et pour ce soir c’est un show très très particulier que WILD nous réserve : en effet, monsieur Vincent Bigaillon, guitariste de l’époque WILD Karnivor est revenu dans le groupe !!! Autant vous dire que ce « changement » n’apporte que du bon dans le groupe et qu’il en est même plus qu’appréciable !
Puis arrivé à la fin du show, Jérôme propose à quelqu’un de monter sur scène pour 2 reprises et … votre serviteur s’y est collé ! Nous avons donc partager le même micro durant Mouth for War de Pantera ainsi que Slave New World de Sepultura (durant le solo de cette dernière, des fans ont littéralement chopés Fred, le guitariste du groupe pour lui faire un slam, et il a tenu toutes les notes et n’a rien raté le bougre !) et aussi une bouteille de Jack Daniel’s, mais ça c’est une toute autre histoire !
Pour finir cette soirée, j’espère que vous êtes prêts à « move your ass on the dancefloor » puisque ce sera Dancefloor Disaster qui clôturera ce premier jour du Metal à la Campagne, septième du nom. Formé en 2010, cette formation d’Electro-Metal, qui est la réunion de membres de Omaïra et Kiemsa pour ne citer que ces noms-là, nous proposent un show bien huilé à la boule et au crâne à facette, mais peux aussi compter sur la présence de deux chanteurs. En effet, on aura le droit à des remix (et là j’insiste bien sur le terme de remix, car il ne s’agit pas que de simples reprises) de titres tels que The Rythm of The Night de Corona « Corones« , Gangnam Style de Psy « Gangbang Style » ou Omen des excellents Prodigy « Oh Men! ».
Un groupe à écouter et à voir en live, assurément, chacun son avis, mais après avoir écouté dans la voiture l’après-midi la version studio, il me semble nettement plus intéressant de voir leur prestation en concert. Petit moment détente pendant la reprise de la fameuse « Macarena » ou l’un des deux chanteur fait monter une poignée de filles sur scène pour faire la fameuse danse, ça ou alors après la fin du show, moment Dancefloor où la possibilité de monter sur scène pour danser à fait naître quelques stars du télé-crochet « Danse avec les Stars » sans le moindre doute !
Setlist : LMFKO (LMFAO – Party Rock Anthem), Testiculer (Britney Spears – Womanizer), I’m Escape Man (Scatman – Scatman), No Limits (2 Unlimited – No Limit), Gang Bang Style (Psy – Gangnam Style), Hey Boy New (Chemical Brother – Hey Boy Hey Girl), Till The World Bends (Britney Spears – Till The World Ends), N’arrête donc pas la fête (Black Eyed Peas – Don’t Stop the Party), Corones (Corona – The Rythm of The Night), Mocorena (Los Del Rio – Macarena), Lady Gras Gras (Lady Gaga – Telephone), Oh Men! (The Prodigy – Omen), Quoi c’est l’amour (Haddaway – What is Love), Staticfation (Benny Bennassi – Satisfaction), Gettin Over Crew (David Guetta – Gettin’ Over You)
Fin de la soirée, rencontre avec les membres de différents groupes, discussion autour d’un verre, des anecdotes intéressantes, des rencontres, et bonne surprise, Jacou Pierre, le bassiste d’Ultra Vomit et Black Bomb Ä (au choix) était présent ! Je rassure certains qui lisent ces lignes : on m’a rien dit à propos d’un éventuel nouvel album du Vomit, quoi que …
Retour au camping, et autant dire que l’ambiance était un peu au calme plat, au moment où nous sommes arrivés, quasiment tout le monde se reposait sur ces deux oreilles. J’ai donc passé la nuit à droite à gauche avec des connaissances ou amis, jusqu’à ce que l’aube se lève. L’ambiance se fit plus sentir au matin qu’au soir quand même. Enfin, je vais passer tout ça, et l’on va aller plus tard dans la journée.
SAMEDI 20
14h30 : ouverture de la billetterie de la grosse journée.
15h00 : Ouverture des portes et également ouverture du set de Screaming Flames.
Aaaaaaaaaah … Screaming Flames … Que dire, que dire, que dire ? Metalcore Melodique, mais cette fois-ci rien à voir avec Unstable ; on a deux chanteurs présents sur scène (Compteur de groupes avec deux chanteurs : 2) qui arrivent à bien s’harmoniser, c’est le mot et bien plus doux et plus calme que les Instables la veille. Personnellement, ce n’est pas le groupe qui m’aura le plus fait vibrer, je ne me suis pas senti véritablement à travers leur musique, le courant n’est pas passé entre nous …
Mais ne boudez pas votre plaisir chers lecteurs, peut-être les aimeriez-vous avec leurs riffs qui sont quand même chatoyants à l’oreille et porteurs d’une certaine attention ? Je vous laisse donc découvrir.
Setlist : Self Fight, Death In Your Eyes, Bullet In Your Head, Religions, Screams of the Walking Dead, Megalodon, A Sun In My Sky
On enchaîne ensuite avec Fool’s Paradise, groupe local à l’image de Screaming Flames, venant défendre son MCD « Forest of Lies » sorti en Mars de cette année. Amateur d’ambiance de forêts verdoyantes ou de délires complètement psyché mélangés à une sauce Heavy Metal, vous allez prendre votre pied !
Outre le chanteur qui bouge énormément sur scène, qui fait valser son pied de micro un peu partout et qui, de temps à autre, part en coulisses pour revenir sur scène juste après (oui, véridique), ils savent mettre l’ambiance ! Et quelle ambiance ! Une autre des agréables surprises du festival, sans concession, à suivre également.
Setlist : Overload Screens, Wasting My Soul, Heaven’s Image, Monopoly Society, The Sole Survivor, Misunderstood
Pause, j’en profite pour faire un tour dans l’espace détente où je discute avec des amis, puis je croise Holy, (ndlr : batteur de GOON ce soir-là mais également du groupe de Stoner calaisien Zoé) souriant comme à son habitude, et la surprise fût d’autant plus grande après que j’ai pu croiser ce cher Anthony Dubois. (ndlr : sa réputation en tant que photographe n’est plus à faire, et il est de ceux qui m’inspirent dans mes clichés) J’en profite donc pour discuter photos avec, puis je repars pour un nouveau shoot.
Initialement prévu, Tyson Boogie à du annuler son show … Dommage, mais leurs remplaçants en vaut largement la chandelle, puisqu’il s’agit du groupe One Eye Dollar. (Dans lequel on retrouve le guitariste de WILD, Fred, soit dit-en passant)
Ami du bourbon, de revolvers et autres gâchettes facile du far-west, ce groupe est pour toi ! One Eye Dollar, c’est l’énergie du Stoner pur mélangé à une touche légèrement Metal Groove, et la recette te donne One Eye Dollar. Show énergique, prestation de folie, ambiance de saloon garantie, le groupe sait y faire, et c’est clairement le groupe qui m’aura le plus fait voyager durant tout le festival.
L’ambiance étant le gros mérite à ce commentaire, ce qui ne veut pas dire que la musique n’y est pas, bien au contraire, elle valorise même les musiciens qui ont véritablement la patate sur scène ! Venu défendre leur premier EP, il s’agit là d’un groupe à suivre.
Setlist : One Eye Dollar, From Skies to Dust, This Lake of Sorrows, No Place Like Home, Dead Cheerleaders Dead, Bumblebeer
Balade improvisée entre la zone de détente et le côté de la salle, et là, on va avoir à faire à du méchant, du rétif , du vicieux ! Colossus est dans la place et le sextuor (j’aurais bien dit sextet, mais il aurait fallu faire passer Colossus pour du jazz, et on est loin d’être dans un style aussi posé) à clairement un message à faire passer, et c’est celui de foutre le bordel et de tabasser toute forme de vie présente.
Colossus, si on devait leur coller une étiquette, selon moi ce serait du Brutal Deathcore, ou du Brutal Death moderne, voyez par vous-même. Le Colosse est bicéphale, d’un côté Fab‘ et de l’autre Jordan, qui sont clairement compatibles l’un avec l’autre. (puisque c’est au-dessus d’harmonieux à un tel niveau et d’ailleurs pour la blague : compteur de groupes à deux chanteurs : 3) Les musiciens montrent également un niveau de technique très élevé, tout en ne s’éloignant pas trop loin et ne partant pas dans la cacophonie non plus.
Venu défendre son deuxième album Lobotocracy et après un passage remarqué où ils ont fini deuxième sur le concours SFR Pression Live au Hellfest, Colossus est clairement un groupe qui envoie du bourrin en live, autant dans leur musique que dans l’émotion ressentie en les voyant. (Surtout quand le chanteur fait pratiquement 35cm de plus que toi et qu’il te fixe en te gueulant dessus)
Setlist : The Combustion Point, Evolution Failure, Endless Torments, Uninvited Guest, Worst Clone Award, The Path of Retaliation, We are The One Called Devils, The Beyond Chronicles, Seize My Final Breath
Pour la scène de la Source, c’est fini, Colossus remballe son matos, et il est l’heure d’aller à la grande salle, près de la scène Meulen Hof.
Sympathique ouverture, avec barbecue, stands Guitar Hero (ndlr : où votre rédacteur à fait un malheur et fût redemandé au passage) bref tout ce qu’il faut pour rendre le cadre encore et toujours sympathique.
20h00 et GOON lance son show ! Je les ais ratés une première fois (ndlr : le 3 Mai avec Quintessence of Versatility et Unstable) alors je ne pouvais pas passer à côté cette fois-ci !
Fort de leur maxi 4 titres, Until The End, (ndlr : que j’ai chroniquer juste avant leur passage) et des cendres du groupe Se7en (tournée en France et à l’étranger avec Gojira, Avenged Sevenfold, Loudblast, Dagoba, Lofofora entre autres) les Goonies arrivent sur scène et voilà que sonnent les premières notes de Protocol A.D., et autant vous dire que les pogos se sont lancés aussi vite que celles-là, GOON sait se faire respecter autant en live qu’en studio et ça, c’est toujours que du bonus pour eux. Le fameux bijou Big Drone était l’avant-dernier morceau, pour finir sur Boomerang. Un spectacle mémorable, une photo avec les fans, GOON à clairement assurer ce soir.
Amateurs porcins et d’autres piq squeals, vous allez être ravis ; Benighted vient défendre son dernier album (sorti en Février cette année) dans nos contrées nordiques, autant dire que pour ça, il a fallu être en forme … et le public l’était, c’est le moins que l’on puisse dire. (et sans barrière, ça a était dur pour les photos) Julien (ndlr : chanteur) n’avais même pas fini d’énoncer le fameux titre de « LET THE BLOOD SPILL BETWEEN MY BROKEN TEETH » que le public était déjà parti ! Experience Your Flesh sera très demandé également, un véritable carnage, des pogos ultra-violents et un wall of death.
Autant dire que Benighted a fait très forte impression ce soir-là. Ce sera également le moment pour découvrir Emmanuel Dalle (Guitare) ainsi que Pierre à la basse.
22h15 et General Lee ouvre son set avec Letter Of Aaron Kosminski From Hell. J’ai souvent entendu parler de ce groupe, et il est déjà passé pas loin de chez moi à quelques reprises (mais manque de curiosité, je n’ai jamais fait le déplacement), et autant vous dire qu’y repenser me fait mal au cœur, car ce groupe est fou proportionnellement à sa sympathie, entre leur chanteur qui descend dans le public, qui me fait gueuler dans son micro et autres, le General à clairement su se faire remarquer avec son propre son.
Je ne pourrais pas vous donner un style précis tellement le groupe est singulier dans sa démarche musicale, le mieux à faire est encore d’aller écouter pour se rendre compte, mais imaginez vous un mélange entre Black Label Society, Paradise Lost et Metallica, tout un programme donc !
Setlist : Letter of Aaron Kosminski From Hell, Hellbound on VHS, The Witching Hour, Medusa Howls With Wolves, Colossal Rains, Junon, Satanico Pandemonium, The Nameless Six.
Ah et là, ça y’est, on arrive au dernier groupe et pas des moindres … Lofofora ! Le groupe vient fouler les planches de Rexpoëde pour défendre leur dernier album sorti quelques jours auparavant, l’Epreuve du Contraire. Toujours fort de l’énergie qui le caractérise, le cactus hallucinogène nous fait un show des plus électriques, avec des musiciens plus en forme que jamais. Les ayant vu au Hellfest quelques mois plus tôt (à l’image de Colossus), autant vous dire que la rage et l’énergie était au rendez-vous, autant que la date Clissonnaise, et l’on ne se lasse pas des mimiques perpétrées par le ‘sieur Reuno sur scène, toujours aussi positif et exaltant dans sa façon de faire. Les titres défilent et le public met l’ambiance dans la fosse sans se reposer à un seul moment.
C’est avec un dernier hommage au Père Schultz de Parabellum et sur ses notes de poésie que Lofofora clôturera son concert. Petit after avec Fatherless Child et ses mixs de chansons Hard/Metal, discussion autour d’un verre avec Arno de Black Bomb Ä et Julien de Benighted ainsi qu’Anthony Dubois, et c’est terminé, on retourne as’baraque comme on dit dans ch’nord !
Alors que penser de cette septième édition Du Metal à la Campagne ? L’installation d’un camping était cohérente et il fallait que ça se fasse, du fait que la soirée du Vendredi était gratuite sur présentation du billet du samedi. (et ça, c’est vraiment bonus, 4 concerts gratuits quoi !) Une très belle affiche pour un billet à prix réduit. (12 groupes pour 15€, ça revient quand même à 1,25€ le groupe) Les organisateurs ainsi que les bénévoles sont souriants et accueillants, on a envie de taper la discussion avec eux, mais ce n’est pas pour autant qu’ils faut les gêner dans leur travail !
Deux très belles salles également, cependant au niveau de la scène de La Source, le son du chant était assez bas par moment, seul petit bémol. De très bon moments passés, que ce soit avec certains festivaliers ou avec les artistes qui était présents pour leurs groupes au festival ainsi que des artistes qui n’était là qu’en spectateur. (Arno ou Jacou de Black Bomb Ä entre autre, mais il y avait aussi Tom, chanteur du groupe Arkanan ou encore Aldo, guitariste du groupe Zoé.) Cette septième édition m’a paru être une belle réussite, et je n’hésiterais pas à y retourner, pour le Metal à la Campagne#8.
Les + :
– Les Stands de merch des groupes
– Les différents points nourritures à proximité (pizzeria, snack, etc…)
– L’accueil des organisateurs, des bénévoles …
– L’affiche à prix réduit
– L’organisation du village
– Le camping mis en place
Les – :
– Son de la scène » La Source » un peu bas pour le chant par moment, voir souvent.
– Les lights de la scène » La Source » …
– La pluie et l’orage le premier soir du camping, bien que dissipés rapidement.