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Archives quotidiennes : 12 juillet 2014

shadows-cover-small

  • Groupe : Sinbreed
  • Album : Shadows
  • Sortie : Avril 2014
  • Label : AFM
  • Style : Speed Power Metal 
  • Site Web : www
  • Note : 15/20

 


 

Sinbreed est de retour ! Et ce nouvel album on m’en a dit du bien.
Alors à savoir si les conseils des autres sont bons c’est à vous de juger car, sur Facebook, nous avons les mêmes amis du moins il me semble.

Et donc, moi, j’en pense quoi de ce nouveau disque ?
Bon, franchement, je ne suis pas grand amateur du groupe, même si pourtant, ce Heavy Metal Speedé est un courant que j’affectionne grandement. Je préfère nettement Grave Digger à Sinbreed et accessoirement Sinbreed à Running Wild si vous voyez ce que je veux dire.

Pour ceux qui connaissent bien la formation, pas de changement notable. ça file droit, c’est carré de chez carré, les refrains sont disons le… plutôt bons (on a franchement mieux chez Iron Savior) et l’univers décrit ici est cliché à souhait.
Pour ceux qui ne connaissent pas ou qui aimeraient en découvrir plus sur Shadows, lisez la suite.

J’ai étonnamment toujours eu un souci avec le chant de Herbie Langhans alors que celui de Chris Boltendahl de Grave Digger passe bien, bizarre mais c’est comme ça. Et là je dois avouer que la prestation de Herbie Langhans m’a cette fois convaincu. Bon, pas sur tout les titres, j’admets que j’ai mes préférences et que son timbre si particulier colle bien sur les titres les plus puissants. D’ailleurs j’aime aussi lorsqu’il s’énerve un peu, comme sur « Call to Arms » où là j’ai pu prendre une bonne claque. Sur Shadows, pas vraiment de temps mort. Mais il faut bien avouer que lorsque l’on achète un Sinbreed on ne recherche pas vraiment de moment mou du slip. Autre composition très réussie et toujours bien rentre-dedans, «Reborn» avec un refrain bien tourné et assez fédérateur.
Justement j’ai mentionné Grave Digger et Iron Savior précédemment, c’était avant de vous parler de «Leaving the Road», composition qui justement fait un énorme clin d’oeil à ces deux groupes. Clonage quand tu nous tiens ! Sinon, en passant, j’ai un peu de mal avec la production, que je trouve très claire et réellement casse-oreilles. Elle manque de profondeur à défaut d’être percutante.
Sur «Black Death» le tempo a su ralentir un peu (un peu, vraiment). Le Heavy de Sinbreed n’en est que plus Heavy et lorgne cette fois vers un Metal plus conventionnel. Brainstorm n’a plus qu’à bien se tenir et on se dit que ce style convient finalement bien au groupe de Herbie et de Flo Laurin
Malgré un titre laissant figurer un moment de douceur «London Moon» se veut être un pur single en puissance. Sans doute l’un des meilleurs titres de Shadows. Rien de bien original ici me direz vous, mais pour une fois le solo est inspiré et la mélodie fait mouche.
non pour avoir un peu de calme il faudra attendre les premières notes de «Broken Wings», le dernier titre de l’album. Moment reposant, mais diablement court. Le titre le plus long de la rondelle renoue avec un Heavy Metal moins Speed et prouve une seconde fois que Sinbreed peut être très bon en se l’a jouant moins rapide. Il y a du talent finalement ici.

Sans surprendre, Sinbreed arrive tout de même à convaincre. Les fans apprécieront, les newbees pourront s’y essayer sans crainte.


 

Tracklist:
1. Bleed
2. Shadows
3. Call to Arms
4. Reborn
5. Leaving the Road
6. Far too long
7. Black Death
8. Standing Tall
9. London Moon
10. Broken Wings

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  • Groupe : 4th Dimenson
  • Album : Dispelling The Veil of Illusion
  • Sortie : Mars2014
  • Label : Power Prog Records
  • Style : Speed / Heavy / Power Metal Melodique
  • Site Web : www
  • Note : 15/20

 


 

Beaucoup d’entre-vous on du oublier ce groupe Italien, qui a pourtant publier en 2011 un album de bonne facture intitulé The White Path Of Rebirth Depuis la sortie de cet album beaucoup d’eau a coulé sous les ponts et de nombreuses formations transalpines ont disparues aussi vite qu’elles étaient apparues étouffées par les mastodontes que sont Rhapsody of Fire, DGM, Labyrinth ou bien encore Dragonland. 4th Dimension est donc de celles qui ont survécu. Mais a qu’elle prix ?

Dispelling The Veil of Illusion marque donc le retour sur le devant de la scène des Italiens avec à son bord Andrea Bicego,Talete Fusaro, Massimiliano Forte, Michele Segafredo, Stefano Pinaroli.
Quid de la musique ? Et bien je dirai que 4th Dimension est resté bloqué en 2011 car leur nouvelle galette sans être mauvaise, loin de là, semble un peu dépassé.

Pourquoi ? Principalement à cause de la production, qui manque de profondeur et de punch, notamment sur les guitares. Et puis aussi à cause du premier titre («A Circle in the Ice») qui sonne carrément vieux, sortie d’une autre époque, une époque où le Metal Italien se cherchait un leader en allant pomper sans vergogne sur ce qui se faisait en Suède. Aujourd’hui ce n’est plus le cas et la suite de Dispelling The Veil of Illusion le prouve, l’Italie sait aller de l’avant sans se soucier des autres.

Car il n’y a pas que du mauvais sur ce disque loin de là. Si sur le premier morceau j’avais eu pas mal de difficulté avec le chant Andrea Bicego, la suite se déroule mieux. «Kingdom Of Thyne Illusions» est une bonne surprise, surtout après la déception de «A Circle in the Ice». Coup de coeur sur le clavier de Talete Fusaro qui possède un son rétro et Dancefloor à la façon d’un Pier Gonela sur Odyssea. C’est dynamique, Speed comme il faut, avec un riff léger, nous ne sommes pas en terrain Allemand si vous voyez ce que je veux dire. «Quantum Leap» et «ExtraWorld» surfent eux aussi sur cet effet technoïde que l’on pouvait entendre sur le seul album de Odyssea. Associé a ce petit truc bien joyeux les Italiens envoient du refrain dynamique et des soli bien conçus. On s’étonne d’ailleurs que «A Circle in the Ice» puisse provenir du même groupe tant la différence entre cette composition et les autres est impressionnante.

Sur ce genre d’album appréhende toujours la ballade, surtout lorsque le chanteur se retrouve assez souvent limite. Pour le coup Andrea Bicego s’en tire pas trop mal et le titre «Memoirs of the Abyss» évite tout cliché du genre. Idem pour le succulent «Away» tout en douceur.
«The Watchtower» dévoile une véritable envie pour le groupe de créer de belles mélodies. Le claviériste s’arrache en proposant un défilé de note joué de manière ultra rapide à la manière d’un Johansson inspiré. Idem pour Michele Segafredo avec sa guitare sur un duel de solo bien travaillé. Nul doute, c’est le plus beau titre de Dispelling The Veil of Illusion.

4th Dimension marque là un retour dès plus intéressant. Je ne sais pas si cet album peut les replacer ou plutôt les placer parmi l’élite mais je suis certain qu’il fera parler. Ne reste plus qu’à attendre la confirmation. 


 

Tracklist:
01. Veil 3102
02. A Circle in the Ice
03. Kingdom of Thyne Illusions
04. Quantum Leap
05. ExtraWorld
06. White Logic
07. Memoirs of the Abyss
08. The Watchtower (A Dream of Chivalry…)
09. Dissonant Hearts
10. Away

En tournée permanente en Europe et aux States depuis plusieurs années, Ana Popovic s’est arrêtée à Paris le 8 juillet au New Morning.

Elle est l’une des rares femmes guitariste de blues à s’être fait un nom dans un milieu essentiellement masculin…A dire vrai,  je connais peu d’autres filles qui gratouillent la guitare avec autant de virtuosité !

Et puis, quelle fille ! Avec une plastique du même niveau que son jeu, j’attendais ce concert avec  grande impatience !

 

Le New Morning, est une salle très « blues », à l’image des clubs que l’on peut trouver dans d’autres capitales européennes. Mais qui aurait besoin de quelques travaux tout de même par rapport à ses consœurs les plus prestigieuses! Sièges de bar déchirés et environnement plus que vieillot ne valorisent pas vraiment les artistes …

Même si la salle est située à  Paris, dans un quartier on ne peut plus populaire, à deux pas de la rue du Faubourg Saint-Denis, et qu’elle accueille essentiellement des artistes de blues, ce n’est pas une raison pour ne pas soigner les Clients !

 

Mais venons-en à l’essentiel : après 45 mn d’attente sous la pluie, les lourdes portes blindées du New Morning s’ouvrent enfin.

Le public est composé essentiellement de quadragénaires et plus… Le blues aurait-il du mal à attirer un public plus jeune ? Il faut sans attendre promouvoir la relève, et arrêter de faire sans cesse référence à des artistes d’un autre âge! Jimi Hendrix et B.B. King, c’est définitivement derrière nous !

NON, Anna Popovic n’est pas la nouvelle Jimi féminine. Elle a développé son propre style et une technique bien à elle.

Le concert démarre avec  pas mal de retard, après que le public ait commencé à  manifester son impatience.

Vêtu d’une magnifique robe rouge qui lui colle à la perfection, la dame apparait avec sa Strat qui ne la quittera pas du concert, malgré la présence de quelques autres guitares sur la scène.

Guitare d’époque valant plusieurs dizaines de milliers d’euros ou objet on ne peut plus moderne sortie des ateliers du Custom Shop Fender, point de réponse. Mais la guitare présente de nombreuses traces d’usure !

Accompagné d’un set de cinq musiciens tous excellents (batterie, basse, clavier, trompette et saxo), la belle assure un très beau spectacle pendant 1h30, alternant des morceaux de son dernier album et des morceaux plus anciens. Dont une version de « Every Kind Of People » plutôt réussie mais osée, à la sauce Blues !

Avec une voix de blues woman légèrement éraillée mais sans plus (ce n’est pas non plus Rod Stewart ou Joe Cocker !), elle assure le show.

 

Et puis, il y a naturellement…son jeu de guitare ! Et c’est là qu’Ana Popovic fait sans ambiguïté la différence.

Son jeu ne ressemble à aucun autre : fluide et clair (oui, le son n’est pas transformé par 200 pédales), avec une main droite qui se déplace d’une manière très particulière et qui lui est propre, elle recherche d’abord à faire passer de l’émotion plutôt qu’à démontrer une virtuosité et une vitesse de jeu.

 

Au final, un grand concert par une grande dame du blues et d’excellents musiciens.

 

Il faut se précipiter sur son dernier album  Can You Stand The Heat , avant de courir la voir partout où elle se produit !


 

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Prévu à 20H00, Chicago débute son concert dans le timing  pour plus de 2 heures de pur plaisir. Le show sera à la hauteur de la salle comble qui  terminera debout pour les derniers morceaux. A travers un savoureux mix des tubes allant de 1967 au futur album annoncé pour début juillet, le groupe délivre ses mélodies légendaires avec des leads vocales prenantes qui s’alternent au gré des morceaux. A 9 musiciens dont 3 du groupe original (Walter Parazaider saxo, flute traversière ; Lee Loughnane trompette, vocal  ; Robert Lamm claviers, guitare, vocal), la signature Chicago ressort fortement. Avec un registre orienté pourtant pop rock, voire jazz rock, on comprend pourquoi, avec le trio des cuivres (trompette, saxo, trombone), les  morceaux souvent à 3 voies, les percussions (batterie + percu) et le jeu de scène,  Chicago se soit produit en live avec Earth Wind and Fire!

 

 

Sixième édition des Métallurgicales à Denain sous un soleil qui cogne bien fort. Par rapport aux éditions précédentes, le dimensionnement du festival a été un peu revu à la baisse: une seule scène, un stand merch placé dans le fond du complexe sportif… mais beaucoup de bénévoles sont là pour aider / renseigner. L’affiche de cette édition était très (trop ?) variée puisqu’elle proposait des groupes allant du thrash old-school au glam rock et a rassemblé au final un petit millier de festivaliers.

T.A.N.K (Think of A New Kind)

Déjà connu des Métallurgicales (leur présence au Warm’Up de l’édition précédente), leur mélange de death mélodique / thrash ouvre avec fureur le festival. En terrain conquis via la présence de nombreux fans, le groupe déroule superbement son set: les compos sont percutantes, le son est bon et l’énergie qu’ils mettent enflamme le public avec une succession de mosh-pits, circle pits et un joli wall of death. Galvanisés par le public, le groupe et Raf (chanteur) en particulier communique énormément avec le public et les 9 titres joués passent super rapidement. On notera une ré-interprétation très réussi de Walk dePantera.

TANK-2

 
Set-list
  • The Raven’s Cry
  • Inhaled
  • T.A.N.K. 09
  • Beautiful Agony
  • Through the Disgrace
  • Walk (Cover de Pantera)
  • Cryptic Words
  • Disturbia
  • Brother in Arms

 

Supuration

Groupe local de cette édition, les valenciennois proposent un death / thrash très technique et complexe. A l’occasion des Métallurgicales, le groupe a rejoué l’intégralité de leur album The Cube sorti il y a plus de 20 ans et qui avait marqué son époque en intégrant des ambiances style cold wave avec une alternance degrowls et de chants clairs plaintifs ainsi qu’un concept sophistiqué qui fut développé sur 3 albums (The Cube, Incubation, CU3E) et deux décennies . Leur performance plutôt sobre (en comparaison de T.A.N.K) est néanmoins très réussie et l’ambiance particulière de leur musique est particulièrement bien restituée sur scène: les frères Loez sont très concentrés sur l’interprétation des morceaux et seul le bassiste fait le show avec un headbanding quasi permanent. Au final, une prestation sous forme de flash-back particulièrement bienvenue car elle illustre à quel point The Cube était moderne et avant-gardiste.


Supuration-3
Set-list
  • The Old Mirror
  • Incubation
  • Prelude
  • The Elevation
  • Soul’s Speculum
  • 138.JP.08
  • The Cube
  • Through the Transparent Partitions
  • Spherical Inner-Sides
  • The Accomplishment
  • 4TX.31B
  • The Dim Light
 
 
 

BlackRain

Changement radical de registre avec le Glam Rock de BlackRain. Je comprends la volonté d’éclectisme de la programmation mais j’ai l’impression d’un trop grand écart avec le reste de l’affiche. Ce sentiment est partagé et manifesté (malheureusement) de manière un peu trop bruyante par certains festivaliers. J’écoute les premiers morceaux très directs et accessibles mais je n’arrive pas à accrocher. Du coup, je sors prendre un peu d’air et de fraicheur.

 
Set-list
BlackRain-4

  • Death by Stereo
  • Dancing on Fire
  • Bad Love Is Good
  • Young Blood
  • Get A Gun
  • Dead Boy
  • Innocent Rosie
  • Blast me Up
  • Overloaded
  • Rock your city
  • Wild Wild Wild
  • Burn ‘N’ Die

 

 
 
 
 
 

Crucified Barbara

Le complexe est bien rempli pour l’arrivée des quatre suédoises et leur hard-rock accessible mais super efficace et énergique. Les barbaras ne ménagent pas leurs efforts et les morceaux extraits des trois premiers albums prennent une autre dimension en live. Le set contient également deux titres du prochain album In The Red dont le clip To Kill A Man est sur youtube. Ça bouge énormément dans la fosse et l’intro acoustique et calme de My Heart is Black est bienvenue pour temporiser le show. Au final malgré la structure redondante des morceaux, l’énergie des musiciennes et l’ambiance dans le complexe font passer ce set très rapidement.

 
Set-list
CrucifiedBarbara-7

  • The Crucifier
  • Play Me Hard
  • Shut Your Mouth
  • Sex Action
  • To Kill A Man
  • Everything We Need
  • Losing the Game
  • Sell My Kids For Rock n’ Roll
  • In Distortion We Trust
  • My Heart Is Black
  • Rock Me Like the Devil
  • Into the Fire
 
 
 

The Haunted

Découverte de The Haunted ce soir pour moi que je ne connaissais pas. Fondé par des membres d’At the Gates, ce groupe semble avoir une histoire un peu compliquée (instabilité de line-up) et 2014 semble être l’année du retour avec quelques concerts et la sortie d’un nouvel album Exit Wounds. Le groupe développe un death métal furieux qui est l’ouverture idéal pour la tête d’afficheDestruction. Ça tabasse méchamment et les musiciens délivrent une prestation super énergique, mention spéciale au chanteur et frontman qui passera la majorité du set à growl en équilibre sur les caisses de matériel juste devant les crash-barriers et qui ponctuera chaque interlude de commentaires avec le public. Public, qui s’enflamme sur la totalité des morceaux puisés dans la discographie du groupe… avec en guise de break, un morceau style grind qui bourrine sauvagement pendant une minute. Prestation vraiment bonne et une superbe découverte !

 
Set-list
TheHaunted-8

  • Dark Intentions
  • Bury Your Dead
  • 99
  • Silencer
  • Eye of the Storm
  • Trespass
  • All Against All
  • My Enemy
  • In Vein
  • Hollow Ground
  • Infiltrator
  • D.O.A.
  • No Compromise
  • Bullet Hole
  • The Flood
  • The Medication
  • The Guilt Trip
  • Undead
  • Hate Song

Destruction

Départ un peu tardif à cause des balances et d’un souci d’éclairage pour la tête d’affiche. Une fois sur place, le trio fidèle à sa réputation et à son nom va tout ravager pendant plus d’une heure (dont les yeux avec ces put**** d’éclairages stroboscopiques) . Le set puise dans une grande partie de la discographie du groupe avec les classiques du groupe ainsi qu’un titre du dernier album Spiritual Genocide. Le groupe assure sur scène et interagit énormément avec le public: 3 micros permettent au bassiste/chanteur d’utiliser l’intégralité de la scène et le public peut même choisir un des morceaux joués (un titre du premier album). Cette grosse baffe de thrash old-school conclut superbement cette sixième édition des Métallurgicales.

 
Set-list
Destruction-10

  • Thrash Till Death
  • Spiritual Genocide
  • Nailed to the Cross
  • Mad Butcher
  • Armageddonizer
  • Eternal Ban
  • Life Without Sense
  • Release from Agony
  • Carnivore
  • Total Desaster
  • Bestial Invasion
  • Curse the Gods
  • The Butcher Strikes Back

 

 

Merci à Roger Wessier, Base Prod et à tout le staff des Métallurgicales pour l’événement ! A l’an prochain !